Ecole Maxime Fontaine

Le mardi 13 février a été notre première séance à la piscine.

Nous y sommes retournés le 27 février aussi.

Merci aux parents qui nous accompagnent, aux mamans sans qui cela serait impossible =).

On a appris qu’il y a des différences entre hommes et femmes mais elles ne justifient pas qu’un homme soit mieux payé qu’une femme pour un même travail.

On a vu que les femmes étaient traitées comme des objets dans les publicités. Les petites filles sont déguisées comme des femmes très tôt (maquillées, habillées comme des femmes).

Une femme peut faire le métier qu’elle veut.

150 femmes sont tuées chaque année en France de violences conjugales parce que le mari ou le concubin la prend pour son objet.

C’est un long combat mais il faut lutter contre le sexisme. 

“Pour moi le plus important c’est que les hommes et les femmes ne doivent pas se tuer entre eux. Nous ne sommes pas crées pour se tuer entre nous”.

Muriel.

“J’ai vu une femme musclée, une fille qui se maquillait et un monsieur qui faisait le ménage”.

Norman.

“Le plus important c’est qu’il ne faut pas se décourager et être libre. Ne pas se laisser faire par des gens”.

Dawson.

“Les femmes peuvent faire le travail qu’elles veulent. Le sport qu’elles veulent”.

Lucas.

“Il ne faut pas taper les filles et faire n’importe quoi avec les filles”.

Yanaël.

“Les femmes peuvent avoir des muscles et les hommes devenir sage-femme”.

Maëlle.

“On a le droit de choisir le métier qu’on veut: un métier c’est pour les filles et les garçons”.

Keylla.

“Les garçons et les filles nous sommes tous pareils: nous avons le droit de choisir ce que nous voulons être, ce que l’on veut faire de notre vie”.

Flavien.

“Pour moi les pubs sont choquantes”.

Adrianna.

“Il ne faut pas taper les filles et les garçons. Chacun son travail: les hommes ont le droit de rester à la maison”.

Anonyme ou tête en l’air

“Ce que l’on montre dans les publicités, ben ils sont pas obligés de mettre (d’acheter)”.

Antonia.

“C’est pas parce que je suis fiancé, marié, que j’ai le droit de taper ma femme. Nous sommes pareils donc on doit nous payer pareil. On peut faire des métiers comme les garçons. C’est mon corps, c’est moi qui choisis si il me touche. Notre linge on peut porter ce que l’on veut (le rose pour les garçons par exemple)”.

Léanne.

“On n’a pas le droit de mettre les gens nus pour des publicités pour des produits qu’on vend (c’est pas bien)”.

Médéryck.

“Le sexisme parle de choses intéressantes sur les hommes et les femmes. Un homme peut se marier avec un homme et une femme avec une femme”.

Nasuir.

Nous avons commencé un cycle de rugby mardi dernier. Le monsieur s’appelle Herman.

Nous avons fait l’échauffement “Top top”.

Ensuite le jeu du cheval et du cavalier.

Puis celui du tracteur qui est assez difficile.

Puis nous avons fait un relais pour travailler le plaquage. On apprend à “lâcher notre poids”.

Puis on a fait un jeu qui commence à ressembler à du rugby. Chaque joueur à un chiffre et quand M Hermann nous appelle on vient prendre le ballon, on essaie de marquer, puis des fois le monsieur appelle tous les joueurs.

Flavien, Emy, Maëlle, Thomas, Muriel et Antonia on a préféré le plaquage.

Keylla a adoré l’échauffement.

Leanne a préféré le jeu final comme Médéryck.

Yanaël n’a rien aimé, il met un 3/10 à l’activité.

Lucas a tout aimé!

Moyenne de la classe pour l’activité: 9/10.

A mardi prochain.

Ce matin M. Begue Gilles de l’ASSOCIATION BÉNÉDICTINE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE L’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE (A.B.D.E.S.S) est venu nous rendre visite.

Il est accompagnateur touristique.

Il nous parle du chemin de ceinture.

Le chemin de ceinture est fait par M. Hubert Delisle le gouverneur de l’île. Les travaux s’effectuent de 1852 à 1858. Il veut rendre la Réunion plus accessible.

Cette route fait le tour de l’île. La route des Plaines était à l’époque une route annexe au chemin de ceinture. On trouvait sur les routes des charrettes bœufs, des chevaux. Pas de voiture jusqu’en 1900 à la Réunion.

Puis en 1882 il y a eu le train qui transportait des épices, du bétail et de la canne dans un premier temps et des passagers par la suite. Il y avait la ligne sous le vent (ouest) et sur le vent (est).

Les premiers colons arrivent sur l’île en 1664. Les suivants vers 1720/30 choisissent de s’installer dans l’est pour planter car la pluie tombe davantage.

En 1810 M. Pierre Benoit Dumas construit une église, celle de Saint Benoit car pour créer une commune, il fallait une église.

En 1850 les épices arrivent sur l’île avec M. Pierre Poivre (clous de girofle, noix de muscade…). On plante dans le secteur est.

Fin XIXème siècle, la canne à sucre se développe. Saint Benoit grossit et devient la deuxième commune la plus grande de l’île. Il y a de la canne de partout!

En 1950 un terrible incendie ravage le centre de Saint Benoit: une lampe à pétrole dans un salon de coiffure a provoqué l’incendie. Pas de pompiers à l’époque, il fallait puiser l’eau dans la rivière des Marsouins et faire une chaîne pour espérer éteindre le feu.