Si on rate ces 1 000 premiers jours, la vie de l’enfant peut être affectée si on ne fait rien

Boris Cyrulnik, interrogé sur l’importance d’un père pour l’enfant :

“Ce qui compte, c’est qu’il y ait deux. Si deux femmes s’occupent d’un bébé, l’une aura la fonction paternelle. Ce qui compte c’est d’ouvrir le champ sensoriel de l’enfant”

? Ecoutez l’intégralité de l’entretien avec le neuropsychiatre

: https://www.franceinter.fr/…/l-invite-de-8h20-le-grand-entr…

 

Neuropsychiatre reconnu pour ses travaux sur l’enfant notamment, Boris Cyrulnik a été désigné pour prendre la tête d’une commission de scientifiques qui va plancher sur la petite enfance, c’est-à-dire sur les 1 000 premiers jours de l’enfant. Une période qui s’inscrit avant l’apparition de la parole, et même avant la naissance : On est la seule culture, en Occident, à faire naître la psychologie le jour de la naissance. Dans beaucoup d’autres cultures, le jour de la naissance est un premier anniversaire. Le développement du corps de l’enfant se fait dans le ventre des femmes, mais même le développement du système nerveux est déjà soumis aux pressions du milieu“, explique-t-il

 

“Parler à un bébé, c’est stimuler les zones cérébrales correspondantes”

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