Je vais vous expliquer notre merveilleux séjour au CALÉ de la Plaine des Palmistes qui a duré une semaine.
Lundi :
Arrivée à l’école à 8h00, toute ma classe était pressée de partir. En regardant nos valises, nos cœurs étaient remplis de joie. Quand on prit le bus nous avions hâtes d’arriver tout en se posant tellement de questions. Arrivés au centre d’hébergement les Horthensias, nous avons été accueillis par Christine et Josiane qui sont deux maîtresses du CALÉ (Centre Académique de Lecture Écriture). Après avoir déposé nos affaires et pris un petit goûter, nous nous sommes dirigés vers le CALÉ. Nous avons d’abord rencontré la directrice Anny Grondin qui nous a fait voyager en nous racontant un magnifique conte. Puis nous avons visité plusieurs pièces de l’établissement. Ensuite, nous sommes partis à la cantine pour manger un délicieux repas. Après nous être bien restaurés, nous sommes repartis en classe pour regarder le début d’un film que nous avions lu pendant l’année : Le Petit Prince. Malheureusement, et heureusement, nous n’avions pas pu arriver au bout du film car notre emploi du temps était très chargé ! L’après-midi, Christine et Josiane nous ont présenté ce que nous allions faire. Elles avaient choisi de partager la classe en deux. Un premier groupe devait partir avec l’une pour découvrir le fonctionnement de la bibliothèque et le deuxième groupe restait avec l’autre pour réfléchir à notre projet : « Qu’est-ce que le slam ? »
En fin d’après-midi, nous avons rencontré Mr. Luco Sautron (« notre » guide pays) qui nous a présenté différentes plantes et différents arbres de la commune. Nous avons découvert le bassin Cadet et la cascade Biberon. En fin d’après midi, nous avons pratiqué du tir à l’arc avec une personne qui s’appelait Alain. Après cette longue voire très longue première journée, nous sommes ENFIN rentrés au centre d’hébergement pour manger et nous reposer pour le lendemain. La première nuit était un peu stressante, nous avons eu un peu de mal à nous endormir… Mais, la fatigue étant tellement présente, nos yeux se fermèrent seuls et nos muscles nous lâchèrent. Dès qu’on posa nos têtes sur l’oreiller, nous décollâmes sans attendre pour le pays des rêves…